Et pourtant les hommes avaient cru à la survie du char d’assaut des savanes originelles, sa carapace des âges anciens protégée par d’hardis guerriers armés. L’ultime, pétri de fêlures, d’usures ; ses deux tonnes sur pieds n’y avaient pas suffi !
L’asiate s’enivrait de poudre de corne quand tant de petits blancs pastichaient Hemingway … et le noir sans pitié tronçonnait le trésor. Sudan a succombé. Au pied du Mont Kenya, fini les bains de boue pour le pachyderme trop puissant pour s’enfuir.